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LE PHASAGE DU PROJET

Phase 1 > 2012 - 2013 - 2014

 

Installation & développement du concept et du label Francofolies en Afrique, avec localisation à

Kinshasa, capitale de la R.D.C., le pays de la musique en Afrique... à l'occasion du sommet de la

Francophonie qui y a lieu en octobre 2012.
 

Mise en place du projet et production des premières Francofolies en Afrique en septembre 2014.

 

Actions de promotion nationale et internationale pendant 3 ans pour installer le nom de l’évènement afin de lui donner une véritable identité et une légitimité. Cette phase de lancement est d’une importance capitale pour la reconnaissance du projet.

 

Il faut prioritairement faire comprendre que ce projet a la volonté de s’inscrire dans la durée et

incarner bien plus qu’un simple rendez-vous culturel, à savoir une valorisation sociale et citoyenne de premier ordre.

 

Phase 2 > 2015 - 2016 - 2017

 

Outre la reconduction du festival, il est impératif de développer de nouveaux espaces éducatifs et pédagogiques en créant un réseau de nouvelles classes (construction en dur + bancs et animation pédagogique) avec notamment des cours de musique… en collaboration avec plusieurs ONG, l’UNICEF, les Ministères de la Culture et de l’Enseignement de la R.D.C. et de la Belgique.

 

L’objectif est de construire et d’équiper plusieurs écoles de nouvelles classes chaque année pendant une durée de 3 ans et d’assurer la formation du personnel au niveau patrimoines naturels et culturels de la R.D.C. Cela ne sert à rien de construire si on ne forme pas et si on ne relève pas le niveau des enseignants.

 

Création de classes des Arts de la scène en activant des relations privilégiées avec les Académie

nationale des arts de Kinshasa et ses homologues belges.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Développement, dès 2015, d’un important volet formation consacré aux métiers et techniques liés à la gestion, au traitement et à la distribution de l’eau.

 

Phase 3 >2018 - 2019 - 2020

 

Poursuite du festival et développement d’un projet de salle de spectacle modulable :

 

  • 1 salle principale modulable de 800 à 1.500 places

  • 1 salle secondaire / esprit club de 250 places pour jazz, musique classique et groupes émergents (cette 2ème salle devrait permettre d’accueillir un studio d’enregistrement pour développer des maquettes aussi bien au niveau son, qu’audiovisuel léger…)

 

Il s’agirait donc de créer un nouvel espace culturel renforçant les échanges entre la R.D.C., la

Fédération Wallonie-Bruxelles et l’ensemble de la Francophonie.

 

Développer des synergies entre l’Institut National des Arts et/ou une école polytechnique

d’enseignement supérieur à Kinshasa et l’IAD, l’INSAS ou l'IHECS pour créer des cycles et des

ateliers de perfectionnement autour des musiques non classiques… (son, éclairage, régie d’antenne).

 

Ce programme doit être construit sur base d’une relation privilégiée entre la R.D.C. et la Belgique dans le respect mutuel des identités culturelles et dans une démarche visant à l’épanouissement de rencontres internationales mettant en évidence l’attachement des 2 pays à la Francophonie, ses artistes, ses créateurs, ses compositeurs, auteurs et interprètes.

 

Objectifs complémentaires :

 

Outre les objectifs principaux décrits, il y a aussi la volonté de finaliser les axes suivants au travers d’une collaboration proactive, à savoir :

 

  • Optimaliser l’image de la R.D.C., pays en reconstruction qui peut ainsi bénéficier d’une caisse de résonance majeure et récurrente au niveau international

  • Vendre l’image de la R.D.C. dans le monde artistique, comme pays de référence en matière de musiques : de la R.D.C., pays de la Musique en Afrique

  • Développer des projets de tourisme culturel avec Brussel’s Airlines et Korongo depuis la Belgique et la France, entre autres !

  • Développer la présence d’artistes congolais dans plusieurs événements culturels internationaux, dont les Francofolies de Spa, le Brussel’s Summer Festival, etc (artistes de la R.D.C., ou artistes congolais vivant en Europe… et en particulier en France et en Belgique !)

  • Mettre en place un vrai projet intégré d’économie sociale et participative avec les associations locales actives dans le domaine de l’emploi et des affaires sociales

  • Développer une réflexion pour essayer d’intégrer à court terme des enfants de la rueans un projet social et responsable (nettoyage, manutentions simples petits transports, etc…

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